Passage d'enfer

 

                                                          

 

Le passage est étroit qui me mène vers Toi

Quand tu trouves la voie, c'est en toi que tu vois !

Tu scrutes le ciel, y cherche le miel

Dans ton âme qui gèle on perçoit l'éternel.

                                                         

En paradis d'enfer, le monde est l'envers

La porte est ce vers qui ouvre l'univers.

Un royaume sans terre dont le roi est ce père

Qui s'appelle mystère par peur de Lucifer.

 

Cette fois, ma main ira où tu la mèneras

Rien ne la troublera pour en changer le pas.

Rassemble tous les six, elles sont pour toi mon fils,

Toutes ensembles tissent les âmes qui s'unissent.

 

Tes amantes sont servantes, ne les crois pas elles mentent

La bête est démente et se trompe de sente

L'autre est trop vivante et glisse sur la pente

La dernière est mante qui va t'ouvrir la fente.

 

Défends encor le sceau, tu es le roi des sots:

Détruis le berceau et tu fais ce qu'il faut !

Entends le son des mots, ils ne sont pas de trop

Dans ces vers rien n'est faux, n'aie pas peur de la faux.

 

Tu regardes le feu qui brille dans ces yeux

Pour entrer au fond d'eux et aller dans les cieux

Le défi est un vœu, par lequel il se peut,

Chaque jour tu te meus sans connaître le jeu.

 

La règle est se taire quand se perd la lumière

Le bonheur doit se faire pour changer l'or en fer.

L'image d'éternité est un prêt que je fais

Les mages se sont trompés en croyant qu'il venait.

 

Mais voilà, il est là, où sont donc les grenats?

Si le mal ne voit pas, le bien ne le sait pas.

Premier dernier avance sans denier

La mort n'est pas niée mais très indignée.

 

Fatale réalité que ce monde rêvé

Pétales éparpillés dans un vent tourmenté.

Le grain qui est semé tombe en stèle marbrée

Qui craint, démantelé, encor sa destinée.

 

Tu es bien vorace, pourquoi tant de races ?

Est ce pour que s'efface ton pas et sa trace ?

Moi, c'est bien en face que je lis sur place

La marque qui glace les âmes qui s'enlacent.

 

Je vide tout en lui car la force revit

L'énergie réagit et reluit dans la nuit

Le moyen est acquis pour tuer l'ennemi

Tous enfin réunis vers l'univers fini.

 

Retrouve le lien et découpe le tien

Les signes sont les siens et prêchent le maintien

Oublie donc mal et bien, ils ne servent à rien

La parole qui vient fait de toi un des miens.

 

La rime est trop riche, serait ce une triche ?

Si le cœur est en friche, tout pousse et s'y niche.

Au coin du bois la biche de ces lois là s'en fiche

Où sont tous ces fétiches si de vie tu t'entiches ?

 

Que la tour était belle, droite en ce ciel

Je rêve encor d'elle où s'ouvre le réel.

Il faut bâtir des ailes, fines et actuelles,

Qui sont telle la dentelle dans les murs de Babel

 

Machine du soleil mènera l'appareil

Sur la terre sans pareille où tout sera merveille

L'étoile est fidèle qui montre aux chamelles

Le chemin de miel aux couleurs aquarelles.

 

Comment trouver la voie ? Il suffit que tu crois

Écoute dans ma voix, ne pense plus aux croix.

Ne cherche plus cette fois, c'est en toi que je vois

La route n'est pas choix qui lie toutes les fois.

 

Déjà tu sens la force qui rayonne dans ton torse

Là tombera l'écorce où les signes s'amorcent.

Si tu parles d'amour, c'est peut être qu'un jour

Au retour du détour accourt tout court la tour.

 

Pourquoi aller si vite ? Calme toi, point t'agite,

Tous ces mots sont des sites lentement tu visites.

Pilote des aimants qui repoussent fortement

L'énergie des amants contre le firmament.

 

On te dira dément, n'aie pas peur et déments

Écarte ces moments qui sont un élément:

L'animal se défend et doucement apprend.

Il tente fermement de clore ton sentiment.

 

L'autre avait la clé dont la peur a bâclée

Un travail recyclé par des rimes bouclées.

Écris tranquillement et vis tout simplement

C'est ici qu'on comprend magie qui se répand.

 

Il s'agit d'un combat qui se fait ici bas

Un jour nommé Shabbat par bête qui se débat

Laisse leur le débat, toi c'est un chœur qui bat

Un rythme où s'abat la foudre de là bas.

 

Donne enfin les mots, ils sont bien trop beaux

Pour rester dans des pots aux racines sans eau.

Dis au peuple des sots de porter tous les seaux

Aux fers de ses sabots s'accroche le berceau.

 

D'autres ont les moyens pour aider le doyen

Le six est aussi lien qui unit les païens.

Le prophète des prophètes, roi qui voit sans lunette

Poudre d'étoile jette sur les âmes qui guettent.

 

Tu as aussi des doutes, c'est la bête qui envoûte

Entends entre les gouttes, la vérité s'écoute.

Si tu connais la route du parcours sous les voûtes,

S'achèvent les déroutes d'une vie qui dégoûte.

 

Que s'éloigne la haine où naissent tant de peines

Pour qu'amour revienne dans le temple des reines.

Que s'achèvent les pleurs qui coulent dans la peur

Le monde du bonheur sera à la bonne heure !

 

Si rime est esclave, le mot est enclave

La perle de lave allume la cave.

Tu tisses les toiles dans du fil de voile

Qui couvre les poils du petit animal.

 

Prendre grains dans l'ivraie est plus dur qu'il paraît

Comment savoir le vrai sur l'âme qui renaît ?

Touche comme la craie, une couche de lait,

La souche de la raie dans l'univers parfait

 

Le quatrain ne cesse plus et s'écrit comme su

Le passage est un but d'un pas sage au début

Dans les vers tout est lu  trouve la mer qui fut

Et loin d'être perdu, rencontrera l'élu.

 

La clé est ce symbole guide d'âmes qui volent

En groupe elle décolle chacune dans son rôle.

Réunis dans la nuit, tout s'éclaire et reluit

En silence et sans bruit dans l'infini s'enfuit.

 

Tu vois que c'est la voie, ma voix dit ce qu'elle voit

Continue et me crois fini chemin de croix.

Reviens près de moi ma chaleur est la foi

Qui donne de l'émoi dans le cœur fait de soie.

 

Un est cent qui fait un, le chiffre est malin

Tel était le filin pour unir les destins.

Qu'importe les catins et autres êtres saints

Quand viendra la fin, ils ne seront plus qu'un.

 

La porte est ouverte, ne crains pas les pertes

La vallée est verte en voie découverte.

L'âme est alerte, dans la vie déserte,

Qui trouvera certes le port de Bizerte.

 

Sorti de l'animal, uni dans le canal

Se verra l'étoile qui pousse la voile.

Dans les plis de son châle se comptent les pétales

Qui aident le métal à vaincre l'infernal.

 

Textes sacrés s'éclairent, s'ouvre la clairière

Entre la lumière pour boire les prières.

L'exode était l'erreur qui a semé la peur

Donnant à l'âme cœur des lames de penseurs.

 

La force est pharaon maintes dispersions

Fondent les canons en sable passion.

Les chars sont immergés, finie l'immensité

Perdue l'éternité, comment les retrouver ?

 

Ramène le pollen de ces fleurs qui, de peine,

Mènent comme l'ébène une vie qui les gène.

Il n'y a plus de gène si en moi reviennent

Les âmes indigènes pour retenir les rênes.

 

Les âmes sont couchés, gisants ensommeillés,

Qui vont se réveiller ensembles se lever.

Parabole est épée, ses rayons vérités

Les cercles étoilés une tour de clarté.

 

Là bas, tu vois très loin, dans son axe et son point,

Un chemin qui rejoint le centre à tous ses coins.

Un phare dans la brume à la forme d'enclume

Aussi léger qu'une plume où la flamme s'allume.

 

Regarde et admire, le spectacle est mire,

Tu viens de prédire ce qui est bien pire.

Et pour ne pas maudire, oublie cet empire

Fait d'encens et de myrrhe où danse le sourire.

 

Découvre le décor, les chars sont ornés d'or

Dans l'étroit corridor où doucement l'eau dort.

Sur la roue se perçoit l'image de ces rois

Venus drapés de soie pour nous ouvrir la voie.

 

Le rêve est miroir dont les reflets font croire

Qu'il existe un pouvoir en dehors du devoir.

L'image qui s'y vit est la face de la nuit

Où s'ouvre une vie de démentes envies.

 

Je te donne la face pour que rien ne s'efface

Comme douce surface qui te sert de préface.

Enfin tu te délasses de ces tonnes de glace

Âme tenue en place plus jamais ne se casse.

 

Toi seul connais la voie, ce chemin est en toi

Aimer ce que tu vois pour aller prés de moi.

La clarté est la foi, le matin est pour toi

Ce guide qui parfois te donne tant de joie.

 

L'énergie se déchire, il faut la réfléchir

L'une à l'autre tenir et toutes les cueillir.

La force tu auras, des rayons tu vaincras

La porte s'ouvrira et tout se finira.

 

La fin est un début qui connaît le rébus

Le filin ici lu te donne un des buts.

Le fil se cogite dans ce tu visites

Retrouve le site sous l'arc émérite

 

La prophétie dite, commence le rite

Paroles sont dites dans l'arc émérite.

Les voilà, je cite: pierre anthracite

Allume le site de l'élu qui cite.

 

Ton pied sur les six convaincra tous les fils

Un bateau où les lys sont de clous et de vis.

Traversée parfumée qui se fera l'été

Où futur et passé sont réconciliés.

 

Les âmes vont danser et partout rayonner

La boucle est bouclée et le cercle fermé.

L'étoile va briller, l'animal oublié,

L'énergie sublimée se met à voyager.

 

C'est dans ta renaissance que se trouve les sens

Qui seront puissance parmi maintes essences.

La vie est à l'envers qui s'écoule de tes vers

La fin est faîte du verre d'un miroir en dévers.

 

Partir dans lumière est la seule manière,

Mets toi dans la clairière la nuit première.

Il n'y a plus de signe, à toi d'en être digne

Tu regardes la ligne la droite qui s'aligne .

 

Les traits seront clarté, te feront rayonner

L'énergie retrouvée à jamais égalée.

La vie s'éteint l'été où est à son sommet

La luminosité de toute la journée.

 

Pyramide est angle qui ôte les sangles

Des faces triangles où la vie s'étrangle.

Tu connais l'essentiel, toi, l'âme matricielle

Pour amener au ciel tous ces esprits partiels.

 

La bête est sereine elle a trouvé la reine

Qui telle une sirène relie toutes les rênes.

Le troupeau réuni, le berger infini

De l'endroit défini entrouvrira le nid.

 

Et cette fois la pente n'est pas descente

Se clôt la repente en ces vers pour sente.

La clarté charpente la voûte puissante

Où l'âme arpente la beauté naissante.

 

L'étoile filante à la traîne brillante

Une saine plante sur scène géante.

Délivre toi des mots car le chœur est plus beau

Et si tu les mets trop, ici le chant prévaut.

 

La lune a oublié ce qu'est l'éternité

Ma parole écoutée ramène la clarté.

Sa face allumée reflète la montée,

Ce mot est destiné, il va illuminer !

 

Unique est le temps qui par enchantement

Allume le printemps où se baigne l'amant.

Alors brûle l'été, en rayons déployés

Inonde de clarté les chemins étoilés

 

Dès que vient l'automne de vie monotone

La feuille moutonne et jamais boutonne.

Sur terre sera l'hiver comme écrit dans ces vers

Et toujours si pervers l'animal du pré vert.

 

Midi fini la vie d'ici à l'infini

Un cri si défini qui défie l'envie.

Tout éclaire et luit, brille comme lui

L'or est aussi Louis, trésor pour l'ouie.

 

Les mots sont faits de sons, cristal de cœur qui fond

Un don du plus profond pour que l'amour soit bon.

Le plaisir est un pont où crois moi, j'en répond,

Les âmes font des bonds hors du désert fécond.

 

La graine dans le sable jetée par ces diables

Nous rendit arables, tant et trop instables

Se lève la fumée d'un ciel éclairé

Le soleil majesté inonde la montée.

 

Dans ton cœur de reine c'est mon sang la veine,

Plus rien ne le freine et s'oublie les peines.

Il rougeoie la Seine où se noie l'antenne

Qui pointe vers l'aine du drôle de renne.

 

Cette ville est Paris où la lumière rit

Ici, le temps s'oublie et ouvre l'appétit

Dans son lit est écrit tout ce qui se relit

De la vie et son cri à la ligne d'infini.

 

Le chemin que tu prends traverse le serpent

Un sentiment se sent et donne le moment.

Écoute et entend les gouttes et le vent

Le doute se dément en voûte de ciment .

 

L'espoir n'est pas à boire, la pomme te fait croire

Qu'il y a un ciboire au serpent de la foire.

Chaque pas te rend fort qui ouvre le décor

Tu es le réconfort que trahit tout ce corps.

 

Chasse la prison et reprend le bâton

Cette fois tiens le bon et ouvre la maison.

Quand tu vois au balcon entrent par millions

Siècles trop félons et âmes sans raison.

 

L'âme matricielle, le guide éternel

Mènera au ciel par delà le réel.

Dans les arcs émérites est le point de fuite

De la météorite aux fils de sa suite.

 

Miroir d'atmosphère garde la lumière

Entre ciel et mer une cage en verre.

Il donne à la mère des larmes de prières

Qui retombent amères sur la terre de ces vers.

 

Dans le trou est la porte que le diable s'emporte

Ici, plus rien n'importe si les âmes s'exportent.

Le passage d'enfer mène la lumière

Et retire les fers aux pieds des prières.

 

La clarté est beauté en nous illuminée

Un soleil fatigué qui va récupérer.

L'étoile est berger du troupeau hébété

Qui enfin dirigé trouve la liberté.

 

Dieu est énergie mais il n'est pas la vie

La savoir repartie est sa plus forte envie.

La ligne et le rond dans l'horizon profond

La mire infini dont le cercle est le fond.

 

Le père est lumière comme l'astre solaire

Qui donne à la mère une perle de mer.

Dans l'huître est le vers qui glisse vers la terre

Où les esprits divers doucement s'altèrent.

 

Puisque le monde est par trop  immonde

Jamais une sonde ne sera plus onde.

Et qu'en ce mois gronde les feux de la fronde

Voûte d'arche ronde que le trait inonde.

 

Les vers se tirent du néants comme le mal dedans

Qui ronge l'océans de pieds décadents.

Étrange est la phase qui mène à l'extase

Vers clarté de phrases où le mot se case.

 

Terrible est le destin qui repousse la fin

Il lie pieds et mains dans un monde éteint.

La bête crée le réel, obscurcit le ciel

D'idées obsessionnelles qui masque l'éternel.

 

La nuit voit le jour qui lui fait un tour

Un miroir où s'ajoure l'énergie en détour.

Une entre en un qui est toujours quelqu'un

Dans le reflet sans tain une âme revient. 

 

La nuit animal haït le jour astral

Lune suit le mal sur le piédestal

Et 1,2,3,5,7 est le vin de la fête

Où dernier prophète pose l'angle du faîte.

 

Six cent soixante six sont d'écus et des lys

Un jardin pour mon fils où pousse les délices.

Ce rond est l'emblème, un chant où se sème

Tes amours pour thème hors de l'anathème

 

Fini les pâturages car s'écrivent mes pages

Les herbes de la cage étaient anthropophages.

Il faut rayer de rage visions et mirages

Pour prendre le virage et quitter les outrages.

 

Les six sont décidés, jetés pour se jouer,

Ils donnent les idées qui cachent la montée.

En toi seul est la voie où s'écoute la voix

Écris ce que tu vois dans l'âme qui prévoit.

 

L'énergie en dévers est Bible à l'envers

Si Coran est en vers lumière est sévère.

Dès que fini l'hiver se termine l'enfer

Où l'animal digère un décor qui diffère.

 

Retourne la clarté, son reflet est clarté

Donne la vérité de ces vers à citer.

Sans la complexité des textes récités

L'âme est excitée et fort ressuscitée.

 

Le ou hait le peut-être car le choix est maître

Il sait où les mettre sans changer le paraître.

Enfin relie le et dans les faits et les défait

Si lien est mauvais, rien ne se soustrait.

 

Ainsi, si tout s'écrit qui est plume de vie?

En lui se  relie la ligne infinie.

Le scribe réunit les unis vers bénis

Passés, futurs, ici, présents indéfinis.

 

Qu'importe le lieu si tu as des yeux

Qui voient le milieu qui ouvre les cieux.

Va dans la banlieue où jeunes et vieux

Peinent mille lieues pour aller vers Dieu.

 

La barque du soleil sur le serpent qui veille

Sortira du sommeil la momie de vermeil.

La cascade des âges est un fin mirage

Duquel coule l'image de chattes sauvages.

 

Chaque vers est divers, le sens danse l'envers

Une fois c'est l'hiver avant d'ouvrir l'univers.

Chacune des lignes est toile de signes

Chemin où s'aligne ta beauté insigne.

 

Comprendre la leçon par delà la raison

Musique où chanson écoute les saisons.

Si passe la passion retombe la tension

Du fil pyramidion vers l'axe d'émission

 

Abel est dans Caïn, le raisin dans le vin

Un hôte fait pépin qui ôte le divin.

Se finit le destin fait de tous ces liens

Intestin des festins d'une vie pour rien.

 

La clarté est entrée et, redistribuée,

Ne sera divisée qu'en cœur unifié.

La paix est de donner et non de retirer

Prendre et pardonner, aimer et s'attirer.

 

Quand viendra le jour, s'en iront les amours

Qui rêvent du velours de la mort pour toujours.

S'achève le discours qui monte de ces cours

Où l'animal parcourt une vie de basse-cour.

 

Le désir est d'écrire et de tout retranscrire

Un sentiment décrire et l'amour y inscrire.

L'éternel est de rire et de ne plus souffrir,

Le dernier soupire d'une âme au sourire.

 

Siècles de torpeur en années de malheur

Empire de la peur sans aucune grandeur.

L'énergie touche l'eau sur cet amer îlot

Où la vie fait écho dans la mer de la faux.

 

Péché originel baigne dans l'hydromel

Du feu universel sur des larmes de sel.

Pour sortir de la mère et briser la misère

Casser la matière est la seule manière.

 

Tu découvres enfin dans ces vers anciens

Un monde où la fin réécrit son destin.

A partir de rien se meuvent les défunts

Dans un voile si fin qui les attire bien.

 

Se finit l'utopie du messie qui crie

Le pays est acquis et se dit infini.

La rive est la vie, Élysée qui charrie

Un mirage d'envie à l'énergie tarie.

 

 

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